Prenons nos Bibles et regardons ensemble dans l'Évangile selon Jean, le chapitre 12. Et mon texte aujourd'hui est du verset 9 jusqu'au verset 19. Et j'ai comme titre Christ le roi. Il y en a aujourd'hui qui croient que Christ reviendra un jour pour être le roi. Mais ce que nous allons voir à travers notre texte, c'est que Christ est le roi. Il est le roi depuis l'éternité. Il était le roi même lorsqu'il était sous ses terres, dans son humiliation, et il est le roi maintenant, il règne. Il n'y a jamais un moment où on peut dire que Christ n'était pas le roi ou qu'il n'est pas le roi. Il est souverain. Et je crois que c'est ça qui distingue le Christ de la Bible, ce Jésus qui est prêché aujourd'hui, que l'apôtre Paul écrivant aux Croatiens disait « un autre Jésus, un autre Évangile ». Et ceux-là sont animés par un autre esprit et non par l'esprit de Dieu. Parce que l'esprit de Dieu ne peut que révéler le Christ de la Bible dans toute sa souveraineté. Rappelons-nous que et que ses équitudes n'ont qu'un seul sujet, et c'est ce Jésus qui est le Christ, c'est-à-dire le moine de Dieu, celui que Dieu a au moine pour accomplir le salut à l'égard de son peuple, et cela depuis l'éternité, et il est le roi, il règne. Si Christ n'était pas souverain, comment alors est-ce Il faut un sauveur puissant, il faut un sauveur qui règne sur toutes ses constances, surtout vu la dureté de nos cœurs. Nos cœurs sont endurcis par le péché, alors il faut un sauveur qui règne même au-dessus des cœurs les plus méchants pour amener ses cœurs à lui. Donc, ici, dans Jean, chapitre 12, nous voyons l'entrée de notre Seigneur Jésus-Christ à Jérusalem, et cela, enfin, de donner sa vie à la croix. C'est pourquoi il est venu dans ce monde. Mais les gens anticipaient un Messie qui allait bouleverser le gouvernement romain et établir un royaume juif. à Jérusalem. Il faut dire que les Juifs s'attendent toujours à un tel Messie aujourd'hui comme, il faut dire, beaucoup de soi-disant chrétiens. Ça fait partie de leur doctrine que le Seigneur reviendra un jour et il va régner sur ces terres pendant mille ans et le centre de son royaume sera à Jérusalem. Ils continuent aujourd'hui à propager cette idée Mais nous voyons, contrairement aux pensées des gens, que le royaume de Christ est spirituel. C'est un royaume où il règne maintenant, où il est en train d'appeler par son esprit à lui-même les sujets de son royaume que Dieu le Père a choisis depuis l'éternité et pour qui, lui, il est mort. ils doivent les amener à lui. Et c'est ainsi que le royaume de Christ est établi sur cette terre. Maintenant, à travers la prédication de l'Évangile, c'est le Seigneur qui dirige cette parole là où il veut, là où il sait se trouvent ses brebis et ses sujets. mais il règne sur le monde entier, même sur les méchants. Les méchants, même le diable, ne peut pas faire plus ou moins que ce que Christ le Roi ordonne. Mais en tout cela, le but de son règne, c'est effectivement d'appeler à lui-même ce peuple de toute nation, de toute race, de toute l'âme, qu'il a racheté par son sang. Alors, ce que nous lisons ici dans Jean chapitre 12, c'est vers ce but-là qu'il entre à Jérusalem afin de se soumettre volontairement à la mort aux mains des impies, mais selon la volonté de son Père. Donc tout se déroule selon le plan éternel de Dieu, le Père, et c'est pour achever, accomplir tout ce qui est écrit de lui que nous le voyons maintenant en train d'entrer à Jérusalem. Mais ça a commencé d'abord à Bétanie, dans Jean 12, et le verset 9, c'est écrit « Une grande multitude de Juifs a appris que Jésus était à Bétanie, Bethany, rappelons-nous, était de peut-être un kilomètre ou plus de Jérusalem, tout juste dans les banlieues. Et il vint non pas seulement à cause de lui, mais aussi pour voir l'hasard qu'il avait ressuscité des morts. Les principaux sacrificateurs délibéraient de faire mourir aussi l'hasard. parce que beaucoup de Juifs se retiraient d'eux à cause de lui et croyaient en Jésus. Le lendemain, une foule nombreuse... Donc, vous voyez, verset 9 commence avec une grande multitude, et ici, dans le verset 12, le lendemain, une foule nombreuse de gens venus à la fête ayant entendu dit que Jésus se rendait à Jérusalem. Et ici, nous savons que cette fête s'agissait de la Pâque. C'était à ce moment-là que Christ devait mourir, étant lui-même l'agneau de la Pâque, l'agneau de Dieu. Celui qui était prophétisé dans l'Ancien Testament sous forme de type, de photos, maintenant, la réalité, la réalisation de cela. Il devait mourir exactement pendant cette fête. Alors, même les foules qui venaient et tous ces événements que nous sommes en train de lire, c'est déjà prédéterminé, déjà ordonné par les Écritures et par Dieu lui-même. Alors, c'est écrit qu'il prit des branches, des paliers, et allait au-devant de lui en criant, Hosanna, béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d'Israël. Et nous allons voir tout à l'heure que cela est une citation qui vient de psaume 118 et le verset 26 dans l'Ancien Testament. Donc, les centaines d'années avant Le développement de ce que nous sommes en train de lire ici était déjà annoncé dans l'Ancien Testament. Et Jésus trouva un annonc et s'assit dessus selon ce qui est écrit. Vous voyez combien cette phrase est importante. Selon ce qui est écrit. Tout ce que nous croyons au sujet de Christ est selon ce qui est écrit. ne devons pas être laissés à nos propres pensées ou imaginer quoi que ce soit en ce qui concerne le Seigneur Jésus. La base de cette foi qui nous est donnée est révélée ici dans les Écritures, et non seulement dans le Nouveau, mais dans l'Ancien Testament. La Bible est un seul livre uni l'Ancien Testament nous donne les prophéties, les promesses, le Nouveau Testament, nous donne l'accomplissement, la réalisation de tout ce qui est écrit. Il n'y a aucun verset de la Bible qui reste à être accompli, si ce n'est que le Saint Jésus doit revenir, mais tout ce qui concerne sa première venue et son œuvre qu'il devait accomplir, sa mort, son ensevelissement, sa résurrection et l'ascension au ciel, tout cela était déjà prédéterminé. Exactement comme le nombre de ceux qui doivent être sauvés, déjà prédéterminé. Selon ce qui est écrit, les gens peuvent vouloir contredire cette... vérité de la souveraineté de Dieu en toutes choses, mais c'est une rébellion contre ce qui est écrit. Nous ne sommes pas appelés à essayer de raisonner avec les gens selon des raisonnements naturels, mais selon ce qui est écrit. Nous prenons cette Bible, cette écriture, et je dis souvent que cette Bible a beaucoup de lumière, a éclairé les commentaires des gens, et non pas l'envers. Les gens essayent de donner leurs commentaires sur les écritures, mais peu importe, c'est ce qui est écrit qui doit être la base de la foi. Alors Jésus trouva un anon. Mais cela n'était pas au hasard. Ce n'est pas parce qu'il n'y avait pas de chevaux à côté qu'il fallait chercher quelque chose de... et sur lequel aucun homme n'était assis auparavant. Et c'est Christ qui est assis dessus selon ce qui est écrit. Et où est-ce que cela est écrit ? Là encore, nous allons voir tout à l'heure que cela se trouve dans le livre de Zacharie, le chapitre 9 et le verset 9. Exactement, ces paroles ne craignent point fille de Sion, voici ton roi vient, assis sur le petit d'une annaise. » Ses disciples ne comprirent pas d'abord ces choses, mais lorsque Jésus eut été glorifié, c'est-à-dire ressuscité des morts, ils se souviennent qu'elle était écrite de lui. Voilà encore « Elle était écrite de lui et qu'il les avait accomplis à son égard ». Voilà pourquoi j'aime lire les Écritures, parce que ça renforce encore que cette foi qui nous est donnée n'est pas une foi vaine, que tout ce qui a été annoncé, tout ce qui a été écrit est accompli. Notez « Il les avait accomplis à son égard ». Tous ceux qui étaient avec Jésus quand il appela l'Azar du Sépulcre et le ressuscita des morts lui rendaient témoignage. Et la foule vint au devant de lui parce qu'elle avait appris qu'il avait fait ce miracle. Les pharisiens se dirent donc les uns aux autres. Vous voyez que vous ne gagnez rien, voici le monde est allé après lui. Donc, quels que soient leurs empêchements, ils ne pouvaient pas empêcher ceux que Dieu lui-même était en train d'attirer à Christ de venir. Et je remercie le Seigneur que c'est comme ça dans le salut des pécheurs. Oui, il y a beaucoup d'empêchements. Oui, il y a la dureté du cœur des gens. Oui, il y a la rébellion. Oui, même jusqu'à aujourd'hui, il y en a ceux qui veulent faire disparaître tout prédicateur qui annonce fidèlement ce message du Christ, le Christ crucifié. Mais personne et rien ne peut empêcher Dieu d'accomplir sa volonté là où lui-même, il désire sauver les pécheurs et faire venir à son Fils, le Seigneur Jésus-Christ. Nous savons que aucun ne peut se perdre pour qui le Seigneur Jésus-Christ est venu dans ce monde. Voilà ce qui est le contraste entre ce qui est écrit dans la Bible au sujet du Christ et le message populaire qui est prêché dans le monde. Et nous ne devons pas avoir peur ou crainte de l'opposition parce que nous savons que c'est Dieu qui a accompli sa volonté. Je sais que c'est comme ça que le Seigneur agit dans mon cœur. Je ne serais pas aujourd'hui en train de vous annoncer ce message de Christ le Roi si ce n'était que Dieu par sa grâce a dompté ce cœur et a fait en sorte à ce que ma volonté soit soumise à la volonté de Dieu et il m'a rendu volontiers de venir à Christ par la grâce de Dieu. Et c'est pourquoi aujourd'hui je l'annonce tel qu'il est. Mais revenons dans notre texte et gardons toujours ce thème, ce sujet de Christ le roi. Voyons comment il règne même face à une foule qui l'opposait et comment ceux-ci de cette foule qui venait vers lui Quels que soient leurs mobiles, parce que c'est écrit dans le verset 18 que la foule continuait à poursuivre Jésus et Lazare ayant vu le miracle qui s'est fait. Il faut dire que c'était un grand miracle à l'époque, le fait qu'un mort soit ressuscité. Mais cela n'était qu'un exemple de la vie qui est dans Christ le Roi, quand on dit qu'il règne, c'est-à-dire la vie est en lui. Et même si ceci s'est donné de la résurrection de Lazare, cela ne peut même pas être comparé à sa propre résurrection qui, dans une semaine, allait maintenant se réaliser, le fait que Le Seigneur Jésus lui-même étant mis à mort allait ressusciter comme c'était écrit le troisième jour. Mais toute cette foule qui se déplaçait et tous ces événements qui entouraient le Seigneur Jésus Christ, nous savons que c'était la main souveraine de Christ lui-même qui dirigeait toutes ces choses. Christ n'a pas cessé d'être Dieu lorsqu'il a pris chair, il est resté Dieu dans la chair. Et donc, toutes ses actions et tout ce qu'il faisait lorsqu'il était sur cette terre était en conséquence du fait qu'il était Dieu lui-même dans la chair, même si les gens ne voyaient qu'un homme, un saint. Mais nous savons qu'il diriger toute chose. Cela est clair dans d'autres écritures, mais dans Acts chapitre 4 et le versets 27 et 28, je reviens souvent là-dessus. Quand on parle des gens qui l'opposaient, ici, c'est en train de citer le psaume 1. Et c'était écrit dans le psaume 1 que Cette question pourquoi se tumulte parmi les nations et ces vaines pensées parmi les peuples. Les vaines pensées étaient celles de ces pharisiens qui imaginaient qu'ils pouvaient empêcher le Seigneur Jésus dans sa mission et son ministère. Vaines pensées. La même chose s'applique aujourd'hui dans le message populaire qui est prêché d'imaginer que Dieu veut réellement sauver certains, mais hélas, c'est l'homme qui est trop puissant pour lui et qui peut par sa volonté empêcher Dieu de le sauver. Non, vaine pensée. C'est écrit, les rois de la terre se sont soulevés et les princes se sont ligués contre le Seigneur et contre son roi. Il y avait pas dans le monde entier, il n'y a pas une plus grande révolte que ce que nous voyons ici en ce qui concerne le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu. Mais Acte 4, 27 nous donne cette explication, et voilà encore, nous devons nous baser sur ce qui est écrit, et non pas sur les interprétations des hommes. Jésus, que tu as au vin, Hérode et Ponce-Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d'Israël. Il faut savoir que, quoi que cette foule ici est en train de crier, ce que disent les inquiétudes, par exemple dans le verset 13 de Jean 12, Hosanna, bénissois celui qui vient au nom du Seigneur, « Le roi d'Israël » et encore verset 15 « Ne crains point, fille de Sion, voici ton roi vient ». Donc, de leur bouche, ils étaient en train de prononcer ce qui était écrit dans l'Ancien Testament, mais malgré eux. Parce qu'il faut savoir que cette même foule qui criait ceci, Maintenant, quelques jours plus tard, plus tard va prier, crucifier-le, crucifier-le. Nous ne voulons pas que celui-ci, que cet homme règne sur nous. Et c'est comme ça dans nos jours, parce qu'il y en a qui aiment citer les Écritures et de leurs lèvres dire qu'ils sont en train de rendre gloire à Jésus. Ils aiment répéter cette phrase, « Blah, Jésus! Blah, Jésus! » Mais lorsque vous vous levez comme moi et nous commençons à leur annoncer qui est ce Jésus et pourquoi il est venu et qu'est-ce qu'il a accompli et le fait qu'il sauve qui il veut et que sa mort n'était pas en veine, mais C'était pour accomplir le salut à l'égard de ce peuple, pas tout le monde, mais ce peuple que le Père lui a donné, voilà. On entend maintenant l'écrire « Crucifiez-le, crucifiez-le ». Nous ne voulons pas que cet homme-là, nous ne voulons pas que ce Jésus-là règne sur nous. Et ils veulent continuer dans leur fausse adoration, comme à l'époque. du Seigneur Jésus, mais comme je disais dans Acte chapitre 4 et le verset 27, même si Pilate, Hérode, les nations et les peuples d'Israël se sont ligués contre lui, et il faut dire que le monde entier, sauf ceux que Dieu lui-même sauve par sa grâce, mais le reste du monde entier est lié contre ce Dieu-ci et son roi. Mais c'est écrit, ils n'ont pas pu faire plus ou moins de ce que sa main, comme verset 28 dit, pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d'avance. Alors, Peu importe ce qui se passait dans cette foule, le fait que Christ est rentré de la manière qu'il est rentré ici à Jérusalem, c'était avec ce but d'aller à la croix et de satisfaire la loi et la justice de son Père, afin d'être le Rédempteur, le Sauveur parfait. Et tout se déroulait exactement comme il voulait. qui est venu à Bétanie. C'est intéressant, dans les versets que nous avons lus, dans le verset 9, et puis plus tard, dans le verset 18, le but de leur venue, c'était moins pouvoir Christ que pouvoir Lazare. Et nous voyons cette attitude aujourd'hui même, Vous vous demandez, mais pourquoi nous qui croyons à ce Christ de la Bible, nous nous réunissons avec des nombres très peu par rapport à ce que nous voyons à côté dans ceux qui professent être chrétiens, mais nous voyons leur manière d'adorer. Ce n'est pas Christ qui cherche. Je crois que le nom chrétien s'agit de ceux qui appartiennent à Christ, ce titre, mais les gens ont volé ce titre pour appliquer ça à une façon d'adoration qui est complètement contraire à Christ et à son œuvre. ils allaient venir s'asseoir avec nous et écouter avec joie. Mais non, ils ont vu leur propre intérêt et c'était comme ça même au temps des Christs. Ils étaient plus intéressés par l'hasard que par celui qui lui a donné la vie. Et aujourd'hui les gens cette même pensée. Ils sont plus intéressés par les dons que les donateurs. Ils sont plus intéressés par les récompenses de leurs heures que de s'intéresser à celui qui donne la grâce pour être sauvé. Alors, Nous savons que les miracles que Christ faisait avaient pour but simplement pour témoigner de sa divinité, de sa puissance, et non pas engendrer la foi. Les gens pensent aujourd'hui, non, mais si on voit des miracles, alors les gens vont croire en Christ. Non, ils finiront par croire aux miracles. C'est pourquoi ils ne parlent que de ça. ou bien les dons de l'esprit, ils pensent que oui, en croyant, en voyant ces dons, alors on va maintenant croire en Christ. Non, ils arrivent à croire aux dons. Ce qui est l'objet de la foi, c'est ça, leur idole. Nous n'avons qu'un seul objet de la foi, si ce n'est le Seigneur Jésus-Christ lui-même. Et ce que nous savons, c'est que bien, qu'il soit dit dans les équitudes que beaucoup de ces gens croyaient, et pour cela les pharisiens se fâchaient davantage, mais ils étaient comme ceux de Jean chapitre 2, du verset 23 à 25, qui ont été simplement impressionnés par les miracles qu'il a faits. et le verset 23-25. Nous lisons ceci. Pendant que Jésus était à Jérusalem à la fête de Pâques. C'est intéressant, ça, c'était au début de son ministère. Maintenant, ce que nous sommes en train de lire en Jean 12, c'est à la fin, la même époque, à la fête de Bac, plusieurs s'étaient écrits Cru en son nom, voyant les miracles qu'ils faisaient. Donc, il y a beaucoup qui peuvent dire non, mais je crois. Mais la question est de savoir en qui est-ce que tu crois. Et qui, je préfère poser cette question, qui est l'objet de votre foi, pas quoi. qu'il faisait. C'est pourquoi à la fin, cette même foule s'est tournée contre Christ maintenant, voyant que non, il n'est pas venu pour établir un roi intéresse. Et c'est pourquoi, puisqu'il ne servait pas leur intérêt personnel de ce qu'ils cherchaient, alors ils l'ont rejeté en disant crucifiez-le et Mais Jésus, verset 24, ne se fiait point à eux parce qu'il les connaissait tous et parce qu'il n'avait pas besoin qu'on lui rende témoignage d'aucun homme, d'aucun homme, car il savait lui-même ce qui était dans l'ombre. Si tu n'es pas Dieu, tu ne peux pas savoir ce qui est dans l'ombre. Nous ne savons même pas ce qui est en nous. Notre coeur est tendu. et méchant au-dessus de tous, qui peut le connaître ? Mais Dieu connaît les cœurs, Dieu sait ce qui est dans l'homme. Et il voit à travers la profession extérieure, comme aujourd'hui beaucoup disent, ah mais oui, Jésus est Seigneur. Mais est-ce qu'il croit en Jésus tel qu'il est révélé dans les Écritures. Nous voyons Christ ici en tant que roi. Il sait ce qui lui appartient parce qu'il était là depuis l'éternité. Lorsque le Père lui a donné ce nom, il connaît cela. Comme Christ dit, « Je connais mes prévies ». Et heureusement, nous ne les connaissons pas. Nous ne faisons que de découvrir ce qui lui appartient au fur et à mesure que l'Esprit révèle Christ en eux. Et cela à travers la prédication fidèle de Christ. C'est pourquoi nous ne mettons pas de côté ce message de Christ, même si ce n'est pas un message populaire au monde. Mais nous ne sommes pas en train de chercher à sauver le monde dans ce sens, mais nous sommes sur le chemin de ces Bréhis. que Christ lui-même est venu chercher et sauver. C'est pourquoi ici c'est écrit « Jésus ne se fiait point à eux parce qu'il les connaissait tous » et ils savaient déjà ce qui était dans leur cœur. Donc même lorsqu'il entrait à Jérusalem en tant que roi, et le fait que cette foule citait sa parole, Ils étaient dans une cité de prophéties le concernant, sans savoir comment tout cela se réalisait. Et ce n'était pas même simplement la foule, mais comme nous avons lu tout à l'heure dans Jean chapitre 12 et le verset 16, ses disciples ne comprirent pas d'abord ces choses. Et je dois dire la même chose, j'ai grandi. en écoutant et en lisant cette parole, en suivant des enseignements et des prédications sur des prédications, même des cours de formation jusqu'à un haut niveau, sans comprendre, sans savoir comment ces écritures que nous tenons dans nos mains s'agissaient, et non pas d'Israël. Cette parole n'a pas pour but la nation d'Israël, mais celui qui est l'Israël de Dieu, c'est-à-dire le Christ, le roi. Mais même les disciples ne comprenaient pas ces choses jusqu'à ce que Christ ait été ressuscité, ici c'est écrit, glorifié. Glorifié, dans le fait qu'il est mort, mais il est ressuscité exactement comme il a dit, et il est monté au ciel, où c'est écrit que le Père lui a donné cette place d'honneur à sa droite, c'est la place d'autorité, c'est une manière de parler, afin que tous les genoux fléchissent devant lui. Et ce qui est su, c'est que puisque les disciples lui n'y appartenaient, ils ne pouvaient pas rester dans l'ignorance, exactement comme nous. Que si Christ est mort pour nous, il va se révéler en nous lorsqu'il plaît à Dieu de le révéler, et c'est ainsi que nous allons comprendre au fur et à mesure le sens de la manière que Christ est glorifié dans chaque écriture. Et c'est ainsi, cet écrit, il se souvient qu'elle était écrite de lui. Lorsque nous retournons en arrière maintenant et nous lisons les passages d'un ancien testament, c'est là que nous nous souvenons que toutes ces écritures ont pour but de glorifier ce Christ, le Roi. Et je voudrais simplement Avant de terminer, lire deux passages de l'Ancien Testament. J'ai cité tout à l'heure Sommes 118 et le verset 25 ou 26, si vous voulez regarder là. C'est ça qui est cité ici dans ce passage, le verset 13, lorsqu'il criait aux Zonas, béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le Roi d'Israël. Si on n'avait pas le Nouveau Testament, peut-être qu'on n'allait pas voir dans l'Ancien Testament comment cela s'appliquait au Seigneur Jésus. Mais je dois dire que tous les hommes ont pour sujet le Seigneur Jésus-Christ. Ce n'est pas David. Bien vrai, le Seigneur s'est servi de lui pour écrire ses paroles, mais il s'agit de Christ. C'est écrit dans... Prenons, par exemple, dans le verset 15 de Somme 18. C'est écrit, décrit de triomphe et du salut. Ses lèvres dans les tentes des justes, la droite de l'Éternel manifeste sa puissance. Posez-vous la question, qui est la droite de l'Éternel? La droite signifie sa main puissante d'autorité, mais il s'agit du Seigneur Jésus-Christ et il manifeste avec puissance le Christ. La Bible, étant le roi, n'a jamais tenté de faire quoi que ce soit pour ne pas réussir parce qu'il est le souverain et C'est comme ça que ça continue dans ce passage. Il s'agit de Christ. Il dit, verset 17, « Je ne mourrai pas, je vivrai et je raconterai les œuvres de l'Éternel. » Bon, quand c'est écrit « Je ne mourrai pas », c'est encore une prophétie au sujet du Seigneur Jésus-Christ dans le sens de mourir et puis disparaître. Non, je vivrai. Donc même s'il est allé à la croix et il devait mourir, c'était pour un temps, c'était pour l'accomplissement de la peine de la loi qui devait retomber sur ceux qu'il est venu sauver, mais sa mort n'était pas une fin. Je vivrai et je raconterai les œuvres de l'Éternel par sa résurrection. Voilà comment il était glorifié. Que le fait qu'il est maintenant vivant et il est au ciel et il règne, tout cela raconte les œuvres de l'Éternel. Verset 18, encore, ce n'est pas David qui parle de lui-même ici, mais ce sont les paroles du Seigneur. L'Éternel m'a châtié. mais il ne m'a pas livré à la mort, c'est-à-dire que c'était impossible que la mort le retienne. Ouvrez-moi les portes de la justice, j'entrerai, je l'aurai l'éternel. Encore les paroles du Seigneur Jésus. Comment est-ce que les portes de la justice, lui, ont été ouvertes? C'est dans l'accomplissement de la loi. parce qu'il a fidèlement accompli chaque exigence de la loi de Dieu à l'égard de son peuple. Et il y est entré, et il est entré vainqueur. C'est écrit « Voici la porte de l'éternel, c'est par elle qu'entrent les justes, qui sont les justes, si ce n'est ceux qu'il a justifiés par sa mort. » Donc, la manière dont Christ est entré, Il faut savoir que cette entrée à Jérusalem, triomphale, c'était à l'égard de ce peuple que Christ est venu sauver. C'est-à-dire que même si je n'étais pas là moi-même, je suis un de ceux pour qui il est venu dans ce monde. Cette entrée à Jérusalem, parmi cette foule, était à mon égard. Voilà mon roi, voilà mon substitut. Donc, C'est ça la porte par laquelle il est entré. Et il dit dans le verset 21, Je te loue parce que tu m'as exaucé, parce que tu m'as sauvé. Sauvé comment? Délivré de la main. Les mains des hommes impies, délivré de la mort. Le châtiment était pour un temps, mais une fois accompli, alors il devait sortir. Vous ne voyez pas comment cela décrit les pensées et les prières de notre Seigneur Jésus. Et la raison pour laquelle je dis cela, c'est dans le verset 22. La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle. Ça, c'est une prophétie concernant le Seigneur Jésus. Ceux qui l'ont rejetée, mais néanmoins, Dieu l'a établie comme la pierre principale de l'angle. Ça, c'est le fondement de son Église et personne ne pouvait l'empêcher. C'est de l'Éternel que cela est venu. Notez, c'est de l'Éternel que cela est venu. Le salut vient de Dieu. De l'Éternel, c'est un prodige à nos yeux. C'est ici la journée que l'Éternel a faite. Quelle journée ? la journée de l'accomplissement de son salut, de son œuvre à la croix dans sa mort et sa résurrection. Voilà la journée que l'Éternel a faite, qu'elle soit pour nous un sujet d'allégresse et de joie. Il ne s'agit pas là d'un jour dans la semaine, mais cette journée s'agit de cette époque dont nous lisons ici, dans Jean chapitre 12, où il est maintenant au point de donner sa vie pour le salut de son peuple et que son peuple soit dans la légresse et la joie. Verset 25. Ô Éternel, accorde le salut. Ô Éternel, donne la prospérité, pas physique, mais spirituelle. Toute la grâce que Dieu le Fils a accomplie pour donner ses grâces à son peuple. Et donc, verset 26, il dit « bénis-sois celui qui vient au nom de l'Éternel ». Exactement ce qu'ils ont écrit ici. Hosanna, bénis-sois celui qui vient au nom du Seigneur. Et puis, le Nouveau Testament agite le roi d'Israël. Il n'y a pas d'autre roi que lui, le Christ. Et c'est ainsi, c'est écrit, nous vous bénissons de la maison de l'Éternel. La maison de l'Éternel, c'est son Église, et voilà ceux qui le bénissent. Le deuxième verset, et le temps est déjà parti, mais qui est cité dans Jean 12 et verset 15, se trouve dans le livre de Zacharie vers la fin de l'Ancien Testament. Et c'est dans le chapitre 9 et le verset 9, et encore, toutes ces prophéties concernent le Seigneur Jésus-Christ. C'est écrit « Sois transportée dans l'église, fille de Sion. Pousse des cris de joie, fille de Jérusalem. » Notez « Voici ton roi, vient à toi. Il est juste et victorieux. » il est homme et monté sur un âne, sur un âne, le petit d'une ânesse. Donc, quel contraste dans sa chair humiliée, c'est ça l'image que nous voyons de son entrée assise sur cet âne. Mais néanmoins, le roi, et notez comment il vient, il vient en tant que juste et victorieux. Il est venu pour accomplir la justice de Dieu à l'égard de son peuple. Et il a fait, c'est-à-dire victorieux. Il a réussi en tout ce qu'il est venu faire. Voilà le Christ que nous annonçons. Voilà le Christ, le Roi, et que le Seigneur nous bénisse en écoutant un tel message à la seule gloire de son Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Sous-titrage MFP.