Dans Jean chapitre 8, à partir du verset 31, nous lisons et il dit aux juifs qui avaient cru en lui, donc parmi cette foule de ceux qui s'opposaient à Christ, il y en avait qui ont cru et nous savons que seulement ceux-là peuvent croire en qui l'Esprit de Dieu donne cette foi. Ça, c'est la preuve qu'un pécheur est l'élu de Dieu, élu depuis l'éternité. C'est que, à un moment donné, l'Esprit de Dieu révèle Christ en eux et leur donne cette foi de croire en Lui. Donc, malgré l'opposition de cette foule, Nous voyons ici la puissance de Christ lui-même, laissant la plus grande partie de cette foule à elle-même, mais agissant par son esprit, sans que les gens ne la percevoient. Ils voient que, oui, ce que Christ est et ce qu'il dit, c'est la vérité. Ils sont attirés à lui dans la foi. Ceux-là ont cru, car cet homme dit plusieurs. Nous ne voyons pas ici leur nom, il suffit simplement de savoir que c'est Christ lui-même qui les a dit. Donc, lorsque nous parlons de la postérité de Satan, il faut se rappeler que depuis la Genèse, dans Genèse chapitre 3, le verset 15, ça a été déjà annoncé dès la chute d'Adam et Ève. Il y avait la postérité de la femme, si vous regardez dans Jean chapitre ou bien Genèse chapitre 3 et le verset 15 et il y a aussi la postérité du serpent et Christ ici parlant à Adam, crois que Christ n'est pas encore venu mais nous savons que tout ce que Dieu a à dire à ses enfants, il a à dire à travers son Fils. C'est effectivement Christ qui marchait dans ce jardin, ce jour-là, et il dit « Je mettrai inéditié entre toi et la femme, entre ta prospérité et sa prospérité, celle-ci t'écrasera la tête et tu lui blesseras le talon. Donc, dès le départ, nous voyons cette distinction entre la postérité de la femme, qui devait être Christ lui-même, il est né d'une femme, c'est écrit dans les Écritures que lorsqu'il est venu dans ce monde, il n'a pas pris la sémence d'un homme, de son Père, mais il était, par la puissance de Dieu et de l'Esprit, planté, la sémence était plantée dans le sein de Marie, qui était vierge, donc née d'une femme, pas née d'un homme, comme nous autres, née d'un homme et d'une femme, mais née La postérité de la femme, il s'agit de la Vierge. Et aussi la postérité du serpent. Cette postérité est une postérité spirituelle. Il s'agit de tous ceux-là qui n'ont pas Christ comme leur représentant. Parce qu'il y a deux têtes ici. Il y a deux représentants, Satan et puis Christ. Et c'est déclaré Depuis la Genèse chapitre 3 verset 15, je mettrai inimitié entre toi et la femme. Donc c'est ce que nous voyons ici dans Jean chapitre 8, ça continue bien d'années plus tard. Voilà la postérité de la femme dans la personne de Christ face à la postérité de Satan, représenté dans ces hommes religieux, les pharisiens, les scribes, qui laissaient à eux-mêmes s'opposaient à cette postérité de la femme, c'est-à-dire l'inimitié était là de nature. Mais parmi ceux-mêmes qui semblaient être de la postérité de Satan, ça a été prouvé qu'ils étaient en fait de la postérité de la femme. Ils étaient à Christ par sa grâce et ils ne le savaient pas jusqu'à ce que L'esprit a agi en eux pour convertir leur cœur pour qu'ils s'attachent à Christ. Ça, c'est dans ce sens-là, plusieurs crues en lui. Et nous savons qu'une véritable conversion dépend de cet esprit de grâce. Ça ne dépend pas de l'homme. Ce n'est pas que Dieu attend parce que l'homme fasse. le premier pas pour qu'il prenne sa décision, non. Dans Somme 110, et le verset 2, c'est écrit « L'Éternel étendra de Sion le cercle de ta puissance ». Quand il s'agit de l'Éternel qui étend de Sion sa parle là de la venue du Seigneur Jésus-Christ à Jérusalem, à Sion, et le cercle de sa puissance. Christ est venu pour régner et pour assujettir à lui tout ce peuple que le Père lui a donné depuis l'éternité. C'est pourquoi c'est écrit « Domine au milieu de tes ennemis ». pour reconnaître que nous sommes tous des ennemis de nature lorsque nous sommes nés dans ce monde. Mais, tout de même, Christ domine, étant celui-ci qui, étant de Sion, son Seigneur, le Seigneur de sa puissance. Alors, verset 3 dit « Ton peuple est plein d'adeur, quand tu rassembles ton armée avec des ornements sacrés du Seigneur de l'Europe. Ton peuple est plein d'adeur quand tu rassembles ton armée. Cela veut dire que ceux qui sont de ce peuple sont ceux-là que, par la puissance de Christ, il doit amener à lui-même. Il ne peut perdre aucun de ce que le Père lui a donné. Cela nous donne de l'espoir lorsque nous prêchons l'Évangile, parce que nous savons que le résultat ne dépend pas de nous. Nous sommes face à de tels ennemis aujourd'hui en prêchant cet Évangile. Et on ne doit pas supposer que c'est seulement des gens du monde comme on parle, mais ce sont des gens religieux, ce sont des gens qui pensent qu'ils ont Dieu pour leur Père. mais en réalité sont de la postérité de Satan. Et étant de cette postérité, ils ne croiront jamais. Voilà la distinction. Nous sommes tous nés dans ce monde, dans cet esprit d'aveuglement à cause de nos péchés. Mais nous ne pouvons pas rester là, puisque si Dieu nous a élus et Christ a payé notre dette, il doit absolument nous attirer comme nous voyons Ceux parmi cette foule, ce n'était pas tout le monde. Verset 30 de Jean-Louis dit, comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Alors, il dit aux Juifs, verset 31, qui avaient cru en lui. Donc, c'était des Juifs. C'était des gens qui sont nés de nature de cette postérité juive. Il dit, si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples. Ça, ce n'est pas une compétition pour dire, ah, mais à un moment donné, peut-être, quelqu'un peut bien perdre son salut. Non. Il est en train de décrire ceux qui sont véritablement des disciples. Ce n'est pas simplement une profession de foi, comme on entend dire aujourd'hui. Mais c'est demeurer dans sa parole. D'abord, Christ est la parole. Et demeurer dans sa parole signifie demeurer en lui. Mais il faut se rappeler que la manière d'être en Christ déjà, c'est que Christ lui-même nous met en lui. Cela s'est passé depuis l'éternité dans l'élection. Nous étions en lui lorsqu'il est mort à la croix, et par l'œuvre de l'Esprit, il nous transporte de ce monde dans son voyant. Donc, nous sommes mis en lui par l'œuvre de l'Esprit. Et là où c'est l'œuvre de Dieu véritablement, ceux-là demeureront. Il est en train de leur dire que si effectivement ils demeurent en lui, c'est la preuve de la grâce de Dieu, c'est la preuve qu'ils étaient véritablement ses disciples. Combien de gens nous connaissons qui ont même peut-être apprécié ce message de la grâce de Dieu en Jésus-Christ que nous prêchons, et pour un moment marcher semble-t-il avec nous, Mais à un moment donné, maintenant, on a abandonné ou retourné encore au vomissement de la religion. Ceux-là ont prouvé qu'ils n'étaient même pas des disciples dès le départ. Et nous avons déjà vu ça, ce qui était scandalisé par l'enseignement de Christ. Au départ, une foule le suivait. à cause du Père qu'il multipliait, à cause des miracles, c'était des raisons personnelles qui les poussaient à le suivre. Mais au fur et à mesure que Christ enseignait que nul ne pouvait venir à lui si le Père qu'il envoyait ne l'attire, et comme c'est écrit dans Jean 6 et le verset 65, il ajouta C'est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi si cela ne lui a été donné par le Père. Noté dans Jean 6, 66. Dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent et ils n'allaient plus avec lui. Alors quand d'autres lisent ça, ils disent ah voilà, ils étaient des disciples et maintenant ils ne sont plus disciples. Ils étaient des disciples dans le sens qu'ils suivaient pour un certain temps, mais scandalisés maintenant par cette parole que le salut ne dépend pas de l'homme, mais c'est entièrement entre les mains de Christ. Étant scandalisés, ils se sont retournés. C'est pourquoi Christ ici, dans le verset 31, fait ce contraste. Si vous demeurez dans ma parole, C'est ce qui me donne l'espoir que je suis véritablement un disciple du Seigneur Jésus-Christ, parce que depuis 1984, lorsque j'étais encore en Afrique et j'avais déjà eu ma formation théologique, j'étais là pour fonder une œuvre que le Seigneur m'a arrêtée. par sa parole et m'a montré que j'étais perdu. Et m'a révélé Christ à travers les écritures, ce que je n'avais jamais appris lorsque j'étais dans les écoles théologiques. Mais ayant appris ce message du Christ dans sa parole depuis ce temps-là, Je ne me suis jamais détourné de cela. Je continue jusqu'à aujourd'hui à m'attacher à ce Christ à qui est due toute la gloire. Ce n'est pas moi qui tiens Christ, mais c'est Christ qui me tient. Et donc, en demeurant dans sa parole, c'est ça qui est mon assurance que je suis véritablement son disciple, mais ce n'est pas de moi, c'est de lui, c'est sa grâce. Et la même chose est vraie pour quiconque. Que le Seigneur attire à lui-même, à Christ, dans sa grâce, c'est sûr que ceux-là demeureront dans sa parole. Demeureront en celui qui est la parole. Alors c'est pourquoi il dit dans le verset 32, à ceux-là, il ne dit pas ça à tout le monde, Mais à cela, verset 32, vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. Et je peux dire que connaître Christ, c'est connaître la vérité. Il est la vérité. Nous n'avons pas besoin d'autres enseignements ou expériences que lui. Vous connaîtrez la vérité. Ce n'est pas une préférence que je prêche ce que je prêche, mais c'est une persuasion. Et donc, vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. Comment est-ce que cette vérité nous affranchit? Ça nous libère de toute pensée, d'espoir dans cette chair, parce qu'il n'y a aucune espérance dans cette chair. Ça nous libère aussi des tendances de ce monde, de ceux qui sont dans le monde, qui vont dans un autre sens, qui marchent sur une autre voie, la voie des œuvres, la voie du soi-disant libre habit de l'homme. Mais nous ne pouvons pas les suivre, rien ne nous attire vers eux, parce que nous sommes libérés. Ça c'est l'esclavage. Et c'est pourquoi Paul, en écrivant au Galate, dans Galate chapitre 5, Et le verset 1, il dit « c'est pour la liberté que Christ nous a affranchis ». Le sens de ce mot « affranchir », c'est être justifié devant Dieu, acquitté de toute condamnation. Ça, c'est notre position en Christ. Ça, c'est la liberté dans laquelle nous demeurons. C'est pourquoi il dit dans 45.1, continuons. Demeurez donc fermes, comme Christ dit ici, que ceux qui sont ses disciples demeureront dans sa parole, dans cette liberté de son heure qu'il a accomplie à la croix, sans se sentir coupable, ou dire, pensant qu'il nous faut faire quelque chose de nous-mêmes maintenant pour apaiser notre culpabilité devant Dieu. Non. Demeurez donc fermes et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. Il appelle ça la servitude. Et vraiment, c'est une servitude. Ceux qui vivent encore pensant que Dieu exige d'eux une œuvre quelconque pour le satisfaire, pour qu'il soit apaisés envers eux à cause des œuvres de leurs mains, ceux-là sont sous la savitude. Et avec raison, parce que Dieu est saint. Donc, si quelqu'un s'imagine vouloir satisfaire à Dieu par ses œuvres, donc, ça exige une sainteté parfaite, une obéissance parfaite. Pas seulement des efforts, mais une obéissance parfaite. Nous avons déjà échoué en cela. Mais voilà, notre liberté, c'est en Christ. Parce que lorsque Christ est venu, il a vécu une vie dans ce monde sans péché. Et puis, il est allé à la croix pour donner sa vie afin de payer la dette du péché de ce peuple que Dieu a aimé depuis l'éternité. C'est pourquoi Christ dit, vous connaîtrez la vérité. Voilà ce qui est toute notre joie en Christ. Si nous sommes en Christ, c'est de savoir que rien ne peut nous séparer de Christ à cause de l'œuvre de Christ. Pas à cause de nous, mais à cause de l'œuvre de Christ. C'est pourquoi nous lisons dans Romains chapitre 8 et le verset 34 qui les condamnera. Il parle là des élus de Dieu dans le verset 33. Qui accusera les élus de Dieu? C'est Dieu qui justifie. C'est Dieu qui déclare juste. Donc, qui les condamnera? Christ est mort. Bien plus, il est ressuscité. Il est à la droite de Dieu et il intercède pour nous. Et voilà la question. Qui nous séparera de l'amour de Christ? Les gens dans la religion s'imaginent que ce sont eux qui parlent de l'amour de Dieu. Mais je dois vous dire qu'un amour qui ne sauve pas n'est pas un amour. Ils prétendent que oui, Dieu aime tout le monde et voilà, il veut bien que les hommes soient sauvés, mais hélas, il ne peut pas agir contre la volonté de l'homme. Voilà ce qui est prêché, ça ce n'est pas l'amour. Si j'aime Mes enfants, je vois que mon enfant joue au milieu de la rue où les véhicules passent. Et je le regarde et peut-être je l'appelle, vous voyez, il faut sortir de la rue. Mais je dis en moi-même, en tant que parent, je ne peux pas intervenir parce que de toute façon, ça dépend de lui, s'il va sortir ou non. Donc je le laisse, j'ai fait mon devoir en l'avertissant, mais voilà, un véhicule vient et le tue, le frappant. Et je dis aux gens, oui, je l'aimais vraiment, mais je ne pouvais pas agir contre sa volonté, donc je l'ai laissé là. Ça, ce n'est pas l'amour. L'amour c'est de voir l'enfant là, dans le danger, aller le saisir et le ramener en sécurité pour son bien. Même si l'enfant ne veut pas sortir, par amour je l'aime pour le faire sortir. Et c'est après qu'il constate que véritablement mon père m'aime. Voilà. Commencez avec ceux que Dieu aime. Quel Dieu qui dit qu'il aime les gens et il ne leur envoie jamais l'Évangile? Si, Dieu aime tous les êtres humains, sans exception. Autant il y a des gens qui meurent chaque jour sans avoir entendu ce message de l'Évangile. Ils sont laissés à eux-mêmes. Mais on dit, oui, mais Dieu les aime quand même. Non. Je sais que tous ceux que Dieu aime, il sauve. C'est pourquoi nous pouvons avoir cette assurance qu'il n'y a personne à l'enfer pour qui Christ est mort et que Dieu aime. Personne ! Parce qu'ici, c'est bien précisé, n'est-ce pas ? Qui nous séparera de l'amour de Christ ? C'est de l'amour de Dieu en Christ qu'il envoie pour payer la dette de ceux-là. La Bible est claire que Cet amour de Dieu n'est pas un amour général. Imaginez si je rentrais à la maison et je donne une bise à ma femme et elle me demande, est-ce que tu m'aimes? Et je dis à ma femme, oui, ma chérie, je t'aime comme j'aime toutes les femmes du monde entier. Quelle sera sa réaction? Ça, ce n'est pas l'amour. L'amour de Dieu est particulier pour ces pécheurs-là que lui-même il a choisis et qu'il a donné à son Fils, et le fait que le Père et le Fils sont unis dans ce que le Père aime, le Fils aime. Et c'est pourquoi c'est décrit « Qui nous séparera de l'amour de Christ ? » Ça va sur la tribulation. ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée, selon qui il est écrit, c'est à cause de toi qu'on nous met à mort tous les jours. Ça parle là de l'opposition de la part du monde que nous allons expérimenter, comme ils ont fait avec Christ. Christ a dit, si ils m'ont haï, ils vont vous haïr aussi. Et ils ont haï notre Seigneur sans cause. Ils ont haï notre Seigneur parce que sa personne et son œuvre, ils ne pouvaient pas accepter. Ils voulaient eux-mêmes une partie de la voie, comme les gens veulent aujourd'hui. C'est pourquoi les gens se fâchent. Lorsque nous prêchons avec précision ce message distinctif de la grâce de Dieu en Jésus-Christ, ça met une... une marque de démarcation, une ligne entre ceux qui sont pour Christ et ceux qui sont pour Satan, la postérité de Satan. Il dit c'est à cause de toi qu'on nous met à mort tous les jours. C'est pourquoi beaucoup ne peuvent pas prêcher ce message que je vous annonce. Ils ne peuvent pas supporter l'opposition ou l'isolation même. Parce qu'il faut reconnaître que nous nous réunissons en petits groupes. Nous ne sommes pas nombreux. Quand les gens passent pour voir combien viennent pour écouter ce message, ils disent ah mais ça c'est un petit groupe. Je dois aller ici où c'est bourré de gens. Je dois vous dire que ça c'est le chemin qui l'élargit mais qui mène à la condamnation éternelle, et droite, et la voie de Christ. Mais c'est à cause de droite, c'est à cause de Christ qu'on nous met à mort tous les jours, qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Les gens préfèrent que nous mourions que de continuer à être dans leur présence avec ce message de Christ, tel est la haine. Mais il dit dans toutes ces choses, verset 37, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a, quoi, aimés. La raison pour laquelle nous sommes à Christ et que nous sommes attachés à cette vérité, c'est parce que cette vérité nous a affranchis déjà, Les autres s'opposent parce qu'ils sont encore sous le joug de la servitude. Mais Paul dit dans le verset 38, car j'ai l'assurance que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur. Aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu. Voilà encore, ne peut nous séparer de l'amour de Dieu, manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. Voilà un amour distinctif qu'on trouve dans la Bible. C'est en Christ et c'est véritablement un amour qui sauve. Je peux dire que je suis sauvé parce que Dieu m'a aimé. Mais il y a tout un monde où la Bible dit que Dieu est ce monde-là. Les gens ne peuvent pas comprendre un tel Dieu qui aime qui il veut et qui est qui il veut. Mais il est juste en condamnant des pécheurs parce qu'il est saint et les hommes sont pécheurs. La seule raison pour laquelle Nous sommes sauvés, si nous sommes sauvés, c'est que Dieu, depuis l'éternité, nous a aimés et a ordonné notre salut, en envoyant son Fils, le Seigneur Jésus-Christ, pour l'accomplir à notre égard. Quand nous comprenons cela, nous crions quel amour, quel Dieu de grâce, Le véritable message de l'Évangile. Donc c'est cette vérité qui nous a franchis. C'est pourquoi nous croyons ce que nous croyons. Nous croyons en qui nous croyons. C'est à cause de ces grâces. Mais maintenant, voilà la lutte qui commence. Parce que ceux-là avaient toujours l'esprit antéchrist en eux. Et ils disent dans le passé, François, il lui répondit, nous sommes la postérité d'Abraham et nous ne fûmes jamais esclaves de personne. Comment dis-tu, vous deviendrez libre? Alors quand ils disent, nous sommes la postérité d'Abraham, ils sont en train de raisonner ici comme des gens dans la religion. ou dire, ah mais vous n'allez pas me dire que je ne suis pas chrétien, parce que depuis mon enfance, mes parents-mêmes étaient membres de telle ou telle église, et nous avons été élevés dans le christianisme, selon eux. Donc, nous n'avons jamais été perdus, voilà ce qu'ils sont en train de dire. Je dois dire, ça c'est une chose grave de dire, parce que ça démontre l'aveuglement, de dire que nous n'avons jamais été perdus, ou bien comme ils disent ici, nous ne fûmes jamais esclaves de personnes. Ça c'est une fierté que nous constatons même parmi les gens qui nous prêchons aujourd'hui. Ils ne veulent pas savoir ou entendre dire qu'ils sont perdus. et qu'ils ont besoin de ce salut qui est en Jésus-Christ seul. Ils se fient à leur décision. Combien de gens m'ont dit non, mais je sais que je suis sauvé parce que depuis mon enfance j'ai pris ma décision de suivre Jésus. Et ma réponse est toujours quel Jésus? Parce que Christ a dit qu'il est venu chercher et sauver ce qui est perdu. Donc, si vous dites que vous n'avez jamais été perdu, alors, certainement, jusqu'à là, Dieu vous laisse à votre sens les prouver. Mais voilà leur défense. Quand ils disent, nous sommes la postérité d'Abraham, ils sont quelque sorte en train de dire, nous avons Abraham pour notre père. Ils renoncent, là, le père, Le Seigneur Jésus-Christ vous dit, non, nous avons pour Père Abraham. Il considérait le fait d'être de la postérité naturelle d'Abraham plus important que d'appartenir à Dieu le Père, qui était représenté dans la personne du Seigneur Jésus-Christ, Dieu dans la chair. Tel était leur aveuglement. Nous avons, en grandissant, eu ces occasions comme petits-enfants et peut-être que vos enfants ont réagi de la même manière que lorsque un enfant parlait bien de son père. On avait toujours l'habitude de réagir, oui, mais laisse-moi. de parler de mon Père. Chacun voulait que son Père soit plus important. Voilà en quelque sorte la lutte que nous voyons ici dans ces versets. Alors, comment est-ce que le Seigneur Jésus a répondu dans le verset 34? En vérité, en vérité, je vous le dis, le répliqua Jésus. Il faut savoir que Christ est la vérité. Donc, face au mensonge, il doit amener encore davantage la lumière et c'est ce que nous devons faire. Nous ne devons pas accepter les positions des gens qui s'opposent à Christ et au salut en lui. Donc, il leur répliqua, disant quitte de leur montrer que quoi qu'ils se croyaient libres, en se fiant à leur postérité étant la postérité d'Abraham, ils étaient, à cause de leur nature pécheresse, toujours esclaves du péché. Et ça c'est vrai. Quelle que soit l'apparence dans la moralité que les gens peuvent avoir, ils sont toujours esclaves de se pécher de leur nature pécheresse tant que Christ n'a pas payé leurs dettes. Alors quoi? Si Christ n'a pas payé leurs dettes, alors ils sont toujours esclaves, quelque soit leur façon de s'habiller. Il dit dans le verset 35 Or l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison, ni pas dans la société, peut-être le lendemain on allait les vendre à quelqu'un d'autre. Donc un esclave n'avait jamais une assurance d'avoir une place dans cette maison pour toujours. C'était un esclave. Mais voilà le contraire, il dit dans le verset 35, le fils y demeure toujours. encore est en train de mettre une séparation entre qui il est en tant que fils de Dieu et ceux qui lui appartiennent sont des fils de Dieu par rapport à ceux-là qui faisaient profession d'être enfants de Dieu. ils étaient toujours sous la condamnation de leur péché, n'étant pas à Christ. Alors, leur profession, leur position était temporaire, parce que le jour devait venir où ils devaient être envoyés, renvoyés, que quelque chose est répété, c'est pour notre attention, si donc le Fils vous a franchi. Il est en train de leur dire que leur opposition au Fils, en tant que Fils de Dieu, démontrait qu'ils restaient toujours dans leur condamnation, parce que c'est seulement le Fils qui a franchi. Comment est-ce que le Fils a franchi? payant la dette du péché pour son peuple, mais aussi en le donnant son esprit pour les attirer à lui-même, comme nous avons vu dans le verset 30, plusieurs crues en lui. C'est le Fils qui a franchi. Donc, ça démontre que le salut dépend de lui et non pas d'une coopération quelconque entre le Fils et le pécheur. toute la gloire revient au Fils. Le Fils, donc le Fils vous a franchis, alors vous serez réellement libres. Et voilà ce qui est notre témoignage. Si quelqu'un nous demande, mais sur quelle base vous vous croyez enfant de Dieu, notre témoignage c'est premièrement que le Fils nous a franchis par sa vie, par sa mort et par son esprit, et alors nous sommes réellement à cause du Fils. Ça, c'est notre seul témoignage. Ce n'est pas à cause de nous, c'est à cause du Fils. Alors, il dit, verset 37, « Je sais que vous êtes la postérité d'Abraham, mais vous cherchez à me faire mourir parce que ma parole ne pénètre pas en vous. » Nous pourrons dire la même chose dans notre génération à ceux qui prétendent être enfants de Dieu basés sur leur héritage. C'est-à-dire, ils se croient enfants de Dieu à cause de leur dénomination. Tel est Pentecôtes, tel est Baptiste, tel est... Et ils se fient dans leurs racines religieuses. Mais Christ dit, quelque soit cette postérité naturelle, si vous cherchez à me faire mourir, aujourd'hui on peut dire, si vous êtes contre ce Christ à qui est toute la gloire, cela démontre que cette parole n'a jamais pénétré votre cœur. Vous êtes resté toujours insensible, mort, en ce qui concerne les choses de Dieu. Je dois dire, quand vous dites cela, aux gens ils se fâchent. Ils n'aiment pas cela. Mais Christ n'a pas hésité de dire la vérité parce qu'il est la vérité. Il ne peut pas mentir. Et nous non plus. Si Christ est réellement révélé en nous, nous ne pouvons que dire ce qui lui donne toute la gloire. C'est pourquoi Lorsque nous prêchons, nous ne regardons pas les visages des gens pour savoir s'ils sont en train d'accepter ce que nous prêchons ou non. S'ils reçoivent ce message, c'est que Dieu lui-même a déjà œuvré dans leur cœur par sa grâce. Et s'ils refoulent le message, c'est qu'ils sont encore dans leur incrédulité, quel que soit le témoignage d'être enfants de Dieu. Alors, verset 38. « Je dis ce que j'ai vu chez mon Père ». Est-ce que nous voulons avoir le témoignage des hommes en ce qui concerne Dieu, ou bien nous voulons le témoignage de celui qui vient du Ciel ? Il dit « Je dis ce que j'ai vu chez mon Père ». Eux, ils regardaient un homme devant eux, mais c'était le Dieu homme. Voilà, celui que nous adorons, il est venu, de son Père, il a habité parmi nous pour un temps, il a accompli le salut pour lequel le Père l'a envoyé et maintenant il est remonté auprès de son Père. Voilà en qui nous croyons pour notre salut. Mais il leur dit, vous, car c'est traduit, vous faites ce que vous avez entendu de la part de votre Père. Donc qui est votre Père? qui, dans un usage, prend la forme d'une question rhétorique. Ça a été utilisé dans une chanson dans les années 1968. Dans la chanson, on demandait « Comment vous appelez-vous ? Qui est votre papa ? » Et puis la question était « Est-il riche comme moi ? » Donc ici, Christ est en train de leur dire, moi je connais mon Père, mais vous dites ce que vous avez entendu de la part de votre Père. Il est en train de leur dire que mon Père n'est pas votre Père. Et il lui répondit, notre Père c'est Abraham. Et Jésus leur dit, si vous étiez enfants d'Abraham, vous feriez les œufs d'Abraham. Qu'est-ce qu'Abraham a fait? Il regardait dans l'avenir, au jour du Seigneur, et il se réjouissait par l'esprit du Christ qui était en lui, de voir ce jour venir où Christ allait payer la dette de son péché. Il dit, si vous étiez véritablement enfants d'Abraham, vous feriez les œuvres d'Abraham en croyant Et c'est pourquoi Paul dit, dans Romains chapitre 9, en ce qui concerne la prospérité d'Abraham, verset 7, Et pour être la prospérité d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants. Mais il dit, il est dit, Elisa sera nommée pour toi une prospérité. Et le verset précédent, il dit « Ce n'est point à dire que la parole de Dieu soit restée sans effet, car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israëls ». Il y a l'Israël spirituel, il y a une postérité d'Abraham spirituelle, mais ceux-ci n'étaient pas de cette postérité. C'est pourquoi le titre de cette étude « La postérité de Satan » Il dit dans le verset 40, Mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l'a point fait. Vous faites les oeuvres de votre père, il continue à insister dessus. C'est vrai, vous êtes le descendant d'un père, mais ce n'est pas Dieu le père. Il dit, Il lui dit, verset 41, nous ne sommes pas des enfants illégitimes. Nous avons un seul Père Dieu. Donc, ils sont en train de confronter le Seigneur Jésus lorsqu'il disait qu'il avait pour Père Dieu le Père. Ils disent non, c'est nous. Et voilà l'inimitié qui existe entre la postérité de la femme et la postérité du serpent, Satan. Christ leur dit, verset 42, si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez. Ça c'est important. Nous savons que nous ne pouvons pas connaître Christ sans l'amour de Dieu envers nous, mais nous l'aimons parce qu'il nous a aimé le premier. Si vous voulez savoir ce qui aime Dieu en vérité, il faut leur prêcher ce Christ-ci, dans toute sa gloire, et vous verrez. S'ils se fâchent, ils démontrent que Dieu n'est pas leur père. Mais s'ils vous embrassent, ils embrassent ce message parce qu'ils embrassent ce Christ. Ah voilà! C'est la preuve qu'ils aiment véritablement parce que Dieu les a aimés. On n'a pas besoin de poser beaucoup de questions pour savoir si quelqu'un est enfant de Dieu. Il suffit simplement de se lever et de prêcher Christ. Avec distinction. pas le petit Jésus que le monde prêche, mais ce Christ-ci, qui a toute autorité de sauver qui il veut et condamner qui il veut. Il a le pouvoir sur toute chair de donner la vie éternelle à ceux que le Père lui a donnés. Voilà le Christ que nous prêchons. Et il dit, « Si Dieu était votre Père, verset 42, vous m'aimeriez. Grâce à Dieu que je suis sorti et que je viens, je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage? Pourquoi est-ce que les gens ne peuvent pas comprendre ce qui, pour nous, est si clair? Voilà la raison. Verset 43 Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Ils sont encore sourds. Ils ne peuvent pas comprendre parce que c'est seulement l'esprit qui révèle Christ au cœur. Et voilà le verset 44, qui démontre encore que cela, quelle que soit leur religion, quelle que soit leur moralité devant les hommes, il dit 44, vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père, il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. ceux qui sont enfants de Satan, la postérité de Satan, ne peuvent pas recevoir la vérité telle que c'est déclaré ici dans les écritures, parce qu'ils sont sous l'esprit de Satan, l'aveuglement, la condamnation. Il n'y a pas de vérité en lui lorsqu'il propose Voilà ce qu'on peut dire des prédicateurs aujourd'hui qui prêchent un autre message. Ils profèrent le mensonge. Quand ils disent que Dieu aime tous les hommes sans exception, ça c'est du mensonge. Quand ils disent que Christ est mort pour tous les êtres humains, ça c'est du mensonge. Quand ils disent que Dieu veut bien sauver tous les êtres humains, ça c'est du mensonge. Ils profèrent le mensonge et parlent à leur propre fond. Exactement comme Satan. Satan ne veut pas que la gloire revienne à Christ. Et je dois dire que Satan œuvre aujourd'hui dans la religion, plus que tout autre endroit. C'est là où il a l'œuvre. Parce qu'il est menteur et le père des mensonges. Et Christ dit et moi parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. Alors voilà la postérité de Satan qui s'oppose à la postérité de la femme qui est Christ. Et ma prière c'est que si Christ s'est révélé en nous déjà, que nous continuons à nous attacher à lui et à l'annoncer dans un monde perdu par toute sa gloire, parce que si il nous a révélé cette vérité, nous ne pouvons que témoigner de sa gloire, peu importe l'opposition du monde. Pour moi, c'est réconfortant de savoir que je suis ce que je suis aujourd'hui par la grâce de Dieu. Et pour ça, je lui rends grâce. Alors que le Seigneur bénisse ce que nous venons d'entendre. Amen. Sous-titrage ST' 501